Dans la vie, il arrive qu’on soit souvent victime d’accident, que ce soit à la maison ou encore lors de la pratique d’une activité sportive. Les personnes âgées aussi bien que les enfants, peuvent être concernés par ces accidents de la vie courante. Très souvent, ces accidents créent chez les enfants, des séquelles et des traumatismes qui peuvent les affecter durant toute leur vie, que ce soit dans leur vie sociale, professionnelle, ou familiale. Quand cela arrive, il faut penser à l’indemnisation de la personne victime, ce qui constitue un véritable souci pour bien de parents. Découvrez à travers cet article, le processus d’indemnisation des enfants victimes d’accidents de vie courante.
À propos de l’accident de vie courante
Définis comme des traumatismes non intentionnels, les accidents de vie courante sont des dommages qui surviennent dans un environnement domestique (à l’intérieur ou aux abords de la maison), extérieur (trottoir, magasin, etc.) ou encore dans le cadre scolaire ou pendant la pratique d’une activité sportive. Très fréquents, ces accidents constituent un sérieux problème de santé publique, car ils impliquent un nombre pas moins conséquent d’enfants. Avec la fréquence à laquelle on constate souvent les accidents de vie courante chez les plus jeunes, il est indispensable de Défendre les enfants victimes d’accident. Des Données connues sur le nombre d’enfants accidentés, imposent la prise de mesures visant à réduire les circonstances dans lesquelles ils pourraient survenir. Toutefois, quand le pire arrive, il faut penser à l’indemnisation de l’enfant accidenté.
Indemnisation des enfants accidentés
L’indemnisation des enfants accidentés passe par un processus bien défini, qui se constitue en provisions, consolidation, expertise et offre de l’assureur. La première étape, est le versement de provisions. Il peut s’agir d’une indemnisation définitive ou d’une provision. Vient ensuite, la consolidation de l’enfant-victime. On peut faire face là, à une consolidation en deux temps ; une fonctionnelle et l’autre situationnelle. Tout dépend de la décision de l’expert en charge du dossier. L’étape suivante est celle de la tierce personne. Si, selon l’expert, votre enfant a besoin de l’assistance d’une tierce personne, il faut que celle-ci soit indemnisée. Autre étape importe, est l’aménagement du domicile. Le domicile familial de l’enfant victime d’accident, peut être indemnisé de même que son domicile futur quand il sera devenu adulte. Si besoin est, le véhicule utilisé aussi pourrait être indemnisé. Il peut arriver qu’à la suite d’un accident, il y ait un traumatisme crânien. Procéder à une consolidation trop tôt, serait une erreur grave, car certaines séquelles pourraient survenir avec le temps. Il est donc important de toujours recourir à une expertise.